Tu es le tout premier à avoir rejoint Virgil, mais ce n'était pas le début de ta carrière pour autant.
Mon parcours a commencé par des erreurs : c’est génial, parce que j’ai découvert ce qui ne me convenait pas. En sortant d’études, je me suis lancé dans un projet entrepreneurial que j’ai évidemment adoré, mais j’ai découvert qu’en avançant seul, on est vite confronté à un plafond d'apprentissage.
Alors j’ai fait un virage à 180° en partant dans ce que je voyais comme la meilleure école pour s’entourer d’experts : le conseil. Là, je me suis pris une grosse barrière dans la figure : la slide. Oui, en conseil il y a du savoir et de la matière grise. Mais le projet s’arrête à la recommandation, à savoir la présentation PowerPoint. J’ai trouvé ça frustrant.
Je me suis dit qu’il me fallait combiner le meilleur de ces deux mondes pour trouver mon équilibre.
Je souhaitais rejoindre un projet qu'il fallait construire from scratch. Je voulais rallier une aventure à son lancement, pour m’investir dans un projet que je pourrais construire de A à Z.
Et puis, ce qui était vraiment important pour moi, c’était de contribuer à la construction d’un produit qui réponde à un vrai problème.
J’ai rencontré Keyvan et Saskia au moment où ils lançaient Virgil - Ça a été un déclic - j'arrivais au moment où tout allait démarrer. Ce projet est porté par deux fondateurs visionnaires qui savent exactement où aller.
Virgil, c'est LA solution innovante qui répond à un problème d'accès à la propriété.
Je me suis vraiment retrouvé dans la mission de Virgil, à savoir - aider les gens à devenir propriétaire. C’est LA solution innovante qui répond à un problème de société d’accès à la propriété. Au point qu’on se demande pourquoi personne n’y avait pensé plus tôt.
Travailler en startup, non en tant que fondateur, mais en tant que 1er employé m’a permis de défricher beaucoup de choses, car tout était à construire, et en même temps j’ai rencontré de véritables mentors, déjà passés par toutes les étapes de l’entrepreneuriat. C’est un accélérateur dont je n’imaginais pas la puissance.
Aujourd’hui, je poursuis ce cheminement chez Virgil. Mon poste est mobile et varié, je passe d’une expérience à l’autre. J’ai commencé en faisant des Ops, puis des Sales, et aujourd'hui, je me perfectionne en Growth. J’ai pu définir mon rôle, c’est le privilège d’arriver dans une start-up dès ses débuts.
Il n'y a pas de meilleur driver que d'être entouré de personnes inspirantes qui te donnent envie de faire toujours mieux.
Ce qui est le plus incroyable quand on grandit avec Virgil c’est de voir la marque évoluer, de fêter des levées de fonds, célébrer le premier acquéreur, puis le centième. Mais surtout, ce qui est inestimable, c’est d’avoir vu se construire et grandir l’équipe. Je suis entouré de gens qui m’impressionnent et qui me donnent envie de faire toujours mieux. Il n’y a pas meilleur driver.
Quelle est ta mission ? Raconte nous ta journée type chez Virgil.
En tant que Head of Growth, ma mission principale est de trouver les prochains acquéreurs qui ont besoin de nous, et leur donner envie de se lancer avec Virgil. C’est rendre possible mais aussi “ré-enchanter” l’expérience de l’achat immobilier pour toute une génération.
Il n'y a pas de journée type chez Virgil.
Je dirais qu'on est sur des cycles qui sont plutôt des mois types que des journées.
Ma journée démarre toujours en regardant les chiffres, c’est indispensable. Cela nous permet de savoir où on en est, mais surtout où on progresse.
Ma journée est cadencée par le mode projet : nous continuons la journée avec une réunion d’équipe afin de coordonner les parties prenantes de chaque projet que je suis en parallèle.
Quand on travaille dans le marketing, on peut aussi bien travailler sur le lancement d’une nouvelle campagne que réfléchir à un nouveau webinaire ou une nouvelle façon d'accompagner les clients... Ce sont sans cesse de nouveaux projets qui se renouvellent.
Chez Virgil, on est connecté avec le monde qui nous entoure.
Il y a aussi toute une partie de ma journée qui sert à échanger avec d’autres acteurs de l’écosystème. Parce que chez Virgil, on ne vit pas dans une bulle, beaucoup de temps est consacré à s’informer, rechercher, s’inspirer et partager des idées.
Quelle est la valeur clé que tu incarnes chez Virgil ?
Nous sommes des hérésiarques. Je ne sais pas si je l’incarne particulièrement mais c’est une valeur prégnante et dans l'ADN de Virgil. Cela veut dire être ceux qui n'ont pas peur de faire des hérésies et d'aller contre le dogme et contre ce qui semble être établi ou évident. C’est qui nous anime chez Virgil, nous agissons pour réparer un problème existant (le marché immobilier est cassé, nous devons le réparer), nous ne créons pas un besoin.
En marketing, être un hérésiarque est l’essence même de notre métier.
Nous devons être capable d’aller à contre-courant de la tendance de fond qui consisterait à dire “ Nous allons déployer une campagne de pub dans le métro pour annoncer notre nouveau produit parce que c'est ce que tout le monde fait”
Nous devons continuellement nous recentrer sur ce que nous sommes vraiment. Quel est notre objectif ? Pourquoi le faisons-nous ? C’est essentiel de repartir de zéro pour construire un raisonnement qui n'est pas dominant.
Il ne faut jamais avoir peur de dire non aux idées préconçues et de prouver qu'il existe toujours une autre façon de faire puis sans cesse la réinventer.
Chez Virgil, nous aidons les jeunes actifs à devenir propriétaire pour se libérer de l’esclavage du loyer. Pour éviter que, dans 20 ans, une génération entière ne soit encore locataire, sans épargne et sans patrimoine.