Baptiste est architecte. Son travail, c’est d'aménager des espaces à vivre pour les autres. C’est dire combien c’est frustrant, pour lui, de louer un appartement où il ne choisit rien, ni l’agencement des pièces ni les décorations qu’il a le droit d’accrocher aux murs. Alors, à trente ans, il décide de s’offrir un chez-lui qu’il pourrait remodeler à son goût. Les appartements en mauvais état ne lui font pas peur : il en voit le potentiel, il sait qu’il pourra les transformer.
Mais il y a un problème : pour mener ce projet à bien, il ne suffit pas d’avoir un œil pour le design. Encore faut-il maîtriser les aspects administratifs de cette opération financière qu’est l’achat immobilier. Il faut aussi avoir les moyens de ses prétentions… C’est-à-dire un budget assez important pour un deux-pièces parisien. Et ça, c’est loin d’être donné.
Heureusement, Baptiste fait une bonne rencontre à un moment crucial : il découvre Virgil, qui l’accompagnera dans ce parcours du combattant et achètera avec lui un appartement digne de ses rêves d’architecte.
La trentaine, un objectif et deux obstacles
Ah, le cap de la trentaine… on est nombreux à remettre en question ses choix de vie, à se demander si on ne pourrait pas faire les choses autrement. Lorsqu’il fête ses trente ans, Baptiste est dans une situation qui lui déplaît doublement.
D’abord, il est en CDI alors qu’il rêve de lancer sa boîte d’architecture avec deux amis. Ensuite, il est encore locataire. C’est-à-dire qu’il « brûle 800 euros par mois » plutôt que d’épargner. Cela fait 4 ou 5 ans que ça dure, le calcul est vite fait : c’est autour de 40 000 euros partis en fumée. Et puis, en tant qu’architecte, il aimerait vivre dans un espace qu’il aurait imaginé lui-même plutôt que de se plier aux goûts plus ou moins douteux de son propriétaire.
Début 2020, il décide d’acheter, mais vite : il doit profiter de son CDI tant qu’il durera avant de se mettre à son compte. Il sait que le marché de l’immobilier est plus difficile pour les indépendants.
Vite, oui, mais pas n’importe comment.
Hors de question de se retrouver à vivre dans un placard à balais.
Baptiste fait face à deux obstacles majeurs. Le premier est d’ordre financier : il faut avoir les moyens de ses ambitions. La première simulation avec sa banque s’avère très peu concluante. Soit Baptiste se contente d’un studio, soit il achète plus grand, mais sans budget résiduel pour faire des travaux. Le deuxième obstacle est de nature administrative. La paperasse, Baptiste déteste ça. Et il y en aura beaucoup pour acheter.
Baptiste ne se rappelle plus très bien comment il est tombé sur Virgil, mais il se souvient d’une chose : il a immédiatement compris qu’il avait trouvé la solution à ses deux problèmes. Comme en plus, le courant passe très bien avec Marie, sa spécialiste Virgil, il décide de se lancer.
« On s’est vite très bien entendu, avec Marie », explique Baptiste. « J’ai trouvé nos premiers appels très agréables et très clairs. »
Appartement vétuste, appartement de rêve !
Pour chercher la perle rare, Baptiste sait garder l’esprit ouvert :
« Presque tout était négociable, sauf le fait d’avoir un deux-pièces. Je ne voulais pas finir dans un studio. »
Avec ou sans ascenseur, 5ème étage ou rez-de-chaussée, Nord ou Sud de Paris, Baptiste regarde tout ce qui passe. Mais avant de décider de se déplacer une visite, il applique sa méthode infaillible pour sélectionner les offres qui valent le coup : à partir des éléments disponibles dans l’annonce, il redessine le plan de l’appartement et réfléchit à quelques perspectives d’aménagement à vérifier sur place.
Tout peut être remodelé, certes, mais Baptiste a aussi des préférences auxquelles il tient. Par exemple, il aimerait bien, si l’opportunité se présente, rester dans son quartier de coeur, où il vit en colocation et où il a tissé des liens forts : Belleville. Il aurait pu bouger, mais lorsqu’il voit passer une annonce pour un deux-pièces traversant à 300 mètres de sa coloc, il sait qu’il doit tenter sa chance. Même si à première vue, l’appartement de 28 mètres carrés a de quoi en dissuader plus d'un, comme nous le confie Baptiste :
« L’appartement était dans un état lamentable. »
Justement, les travaux, ça ne lui fait pas peur. Enfin, tant qu’ils portent sur l’intérieur de l’appartement en question. Des travaux dans la copropriété, c’est une autre paire de manches. Virgil et Baptiste travaillent ensemble pour s’assurer qu’il n’y a aucune grosse dépense à l’horizon de ce côté-là :
« Il y avait deux ou trois questions en suspens, un problème de dégradation d'enduit sur le soubassement de l’immeuble. Il y a eu un PV puis nous avons vérifié que ce n’était pas grave. »
Maintenant, au travail !
Novembre 2020, premier jour du deuxième confinement, Baptiste fait une offre avec Virgil pour cet appartement vétuste au potentiel immense. Et ça marche ! Pour obtenir le prêt et boucler la transaction, Baptiste sait qu’il peut compter sur Marie, sa spécialiste Virgil. La collaboration se passe toujours aussi bien :
« J’ai eu une seule interlocutrice, ce qui rend les choses plus faciles. Je n’ai pas eu de courtier, je n’ai pas eu besoin de chercher de notaire, tout était très simple ! Je l’ai toujours trouvée disponible. »
Baptiste obtient les clés fin avril 2021, mais l’aventure est loin d’être terminée : il y a encore plusieurs mois de travaux à prévoir, soit la partie la plus amusante pour notre architecte. Ce sont ces travaux, justement, qu’il doit à Virgil :
« Financièrement, j’aurais peut-être pu acheter l’appartement tout seul, mais je n’aurais pas pu me permettre les travaux. Le prix des travaux correspond à l’apport de Virgil ! »
Et ils sont plutôt conséquents : refaire l’électricité et la plomberie, faire tomber la cloison entre la chambre et la salle d’eau, faire poser un nouveau parquet et refaire les murs et le plafond. Le gros du travail a été la menuiserie sur mesure : Baptiste s’offre un dressing complet dans sa chambre. Sur toute la longueur du séjour un plan de travail avec de l'électroménager intégré.
Fin octobre 2021, Baptiste peut enfin emménager.
Baptiste aime son dressing, son plan de travail, et son parquet, mais il n’hésite pas une seconde quand on lui demande ce qu’il préfère dans ce nouvel appartement :
« C’est chez moi ! Si je veux mettre une dizaine de clous sur un mur, je peux. Et surtout, je paye peut-être des intérêts à une banque, mais ne dépense plus d’argent pour engraisser un propriétaire…»
Et le bonus : « C’est un petit immeuble avec beaucoup de jeunes. Tout le monde se connaît, il y a une vraie ambiance de copropriétaires ! »
En investissant jusqu’à 100 000 € à vos côtés, Virgil vous permet de devenir propriétaire du bien qui vous correspond vraiment. Et vous accompagne à toutes les étapes. Parce qu’on devrait tous être libre d’acheter l’appartement qui nous fait rêver. Chambre d’enfant, rooftop, ou quartier préféré : devenez propriétaire, sans faire de compromis. Et si on en parlait ?
