Le bien qu’il lui faut en 72 heures chrono

On dit souvent que sur le marché de l’immobilier, l’emplacement est roi. Évidemment, d’un quartier à l’autre, d’une rue à l’autre, la valeur des biens fluctue. Mais il n’y a pas que la localisation ou la superficie qui compte. Lorsqu’on cherche à acheter, il ne faut pas négliger l’importance du timing. Eh oui, l’immobilier, c’est à la fois une question d’espace et une question de temps.

‍

C’est en tout cas ce que les recherches de Sébastien lui auront appris. Entre contretemps, temps morts et temps perdu, l’année 2022 a bien failli le décourager. Mais à la fin de l’automne, les temps changent. Sébastien trouve deux choses : le bon associé et le bon planning. Alors que son projet d’acheter en est au point mort, tout se précipite d’un coup. Moins de trois jours après son premier appel avec Virgil, il fait une offre sur l’appartement qu’il finira par acheter. De là à penser que Virgil lui a porté chance…

Sébastien, lui, est formel : il ne s’agit pas de chance mais de réactivité. Avec un associé aussi réactif que Virgil, facile de trouver le bon rythme. On vous raconte comment Sébastien a acheté un appartement en 72 heures chrono.

Le temps des contretemps 

‍

Sébastien, statisticien, travaille dans Paris intramuros, mais n’y habite pas. Il est locataire d’un deux pièces à Asnières-sur-Seine. Même s’il apprécie le calme de la petite couronne, il aimerait se rapprocher de son lieu de travail. Après les confinements successifs, ses trajets quotidiens commencent à lui peser. Il se lasse franchement de sa routine cardio-métro-boulot... Et puis, à trente-six ans, Sébastien commence à trouver difficile de se projeter dans un appartement où l’on ne fait que passer.

« En tant que locataire, je ne me sentais pas vraiment chez moi… » explique-t-il.

Mais au delà des ressentis, ce qui compte surtout pour ce mathématicien de formation, c’est la vérité des chiffres. Sébastien comprend mieux que quiconque l’impact financier d’un achat immobilier. Payer un loyer tous les mois, c’est perdre de l’argent, alors que rembourser un prêt, c’est se constituer un patrimoine. Gain de temps + gain d’argent ? Les calculs sont vite faits : il décide de sauter le pas. 

‍

Quitte à déménager, autant le faire bien. Sébastien part à la recherche d’un appartement plus proche de son travail… mais sans se presser, histoire de se faire une idée du marché. Il fait quelques visites. À chaque fois qu’il trouve un appartement à son goût, Sébastien s’accorde le temps de la réflexion, histoire d’être vraiment sûr de son choix. Mauvaise stratégie sur le marché de l’immobilier, où tout va très vite.

« À chaque fois que je visitais un appartement que j’aimais bien et que je rappelais 24 heures plus tard, il était déjà vendu. »

Il finit par regretter son sang-froid. Car très vite, les projets immobiliers de Sébastien sont rattrapés par le contexte international : « La guerre en Ukraine m’a inquiété, j’ai décidé d’attendre un peu ».

À partir de ce moment-là, tout s’enchaîne : inflation, hausse des taux directeurs de la banque centrale européenne, donc des taux d’intérêt pratiqués par les banques… La conjoncture économique se reflète directement sur le budget de Sébastien :

« En un an j’ai perdu 30 000 ou 40 000 euros de capacité d’achat à cause de l’augmentation du taux d’intérêt. » 

Le clic qui a tout changé 

Pragmatique, Sébastien évalue la situation : « Avec mon nouveau budget, je n’avais pas les moyens de m’acheter autre chose qu’un studio… ». Mais hors de question de se retrouver à vivre dans une seule pièce comme un étudiant. Il se demande quels sacrifices il va bien devoir faire pour devenir propriétaire. 

Aucun ?! Alors ça, il ne s’y attendait pas. C’était sans compter sur le co-investissement immobilier. Virgil est l’associé tombé du ciel, qui lui propose de co-investir les quelques dizaines de milliers d’euros perdus avec l’augmentation du taux d’intérêt.

« Ça m’a permis d’avoir un apport plus important et d’augmenter ma capacité d’achat. » 

‍

Sébastien remplit le formulaire Virgil en décembre. « Il y avait déjà des avis positifs, le site semblait sérieux. J’ai reçu ma simulation de budget immédiatement. Puis, j’ai été contacté quelques heures plus tard par Alice, spécialiste Virgil. Je n’ai pas été laissé à l’abandon, c’est très rassurant. » 

D’autant plus qu’Alice lui donne, dès le premier appel, deux clés qui vont se révéler cruciales pour sa recherche d’appartement. La première : une lettre de confort attestant de la faisabilité de son projet immobilier afin de rassurer le vendeur et d’appuyer la candidature de Sébastien. La deuxième est un conseil. Alice lui parle d’un agrégateur d’annonces immobilières qui envoie des notifications en temps réel dès qu’un appartement correspondant à ses critères est mis sur le marché. De quoi gagner en réactivité !

Pas trop tard pour le bon taux 

Alice ne croit pas si bien dire. Sébastien installe l’application et repère un appartement qui semble idéal. C’est-à-dire : un deux-pièces de 29m² à Clichy, ce qui aurait l’avantage de réduire considérablement son temps de trajet quotidien. Sur le papier, tout semble idéal. La visite, elle, n’apporte que de bonnes surprises : Sébastien découvre un appartement rénové, propre, lumineux et bien agencé. Parfait pour lui, qui ne voulait pas se lancer dans des travaux. Le tout, dans une copropriété bien entretenue… 

Aucune hésitation à avoir, Sébastien passe à l’action :

« J’ai vu tant d’appartements me passer sous le nez que j’ai voulu faire l’offre tout de suite. » 

Et seulement 72 heures après son premier appel avec Alice, Sébastien, armé de sa lettre de confort, se positionne pour l’appartement. Une bonne chose de faite pour finir l’année. 

‍

2023 s’ouvre sur de meilleures auspices pour Sébastien : début janvier, il obtient déjà l’accord de principe. Il se dit que l’étape qui s’annonce sera la plus délicate : obtenir son financement. En décembre déjà, il avait entendu dire que les taux d’intérêt dépassaient les 3%. 

Mais c’était sans compter sur le suivi de Virgil :

« J’ai bénéficié d’un accompagnement du début à la fin. J’étais agréablement surpris. Je ne connaissais pas grand-chose à l’immobilier et ils ont tout pris en main. »

Tout, c’est-à-dire : trouver un financement au taux avantageux de 2.75%... Mais seulement après avoir vérifié que l’appartement choisi par Sébastien ne cachait pas de mauvaises surprises. 

Au printemps 2023, Sébastien confortablement installé dans son appartement, n’en revient toujours pas d’avoir trouvé le bon associé, pour le bon appartement, au bon moment :

« Je ne pensais pas me rapprocher de Paris à ce point sans rogner sur la surface. Tout a été bénéfique dans cette expérience. Virgil m’a fait gagner du temps et de l’argent avec ce taux d’intérêt avantageux.... »

Une décision que Virgil ne pourra pas prendre pour Sébastien ? Le réaménagement de son salon. « J’envisage de le changer un peu, je trouve qu’il y a peut-être trop de rangements… ». Les rangements, il y en a toujours trop ou pas assez. Mais ça, Sébastien, c’est vous qui voyez.