En matière d’apport, deux écoles s’affrontent : ceux qui préfèrent consacrer toute leur épargne à leur achat et ceux qui choisissent de garder un peu de fonds disponibles. Alors, quelle est la meilleure solution ?
Pourquoi conserver une partie de son apport ?
Il est devenu fréquent que les banques exigent un apport d’au moins 10 % : pas d’apport, pas d’emprunt ! Mais si vous disposez de 20, 30 ou 40 % d’apport, devez-vous forcément affecter ce surplus d’épargne à votre projet d’achat ? Pas forcément, car vous aurez peut-être besoin de liquidités pour des frais prévisibles, comme des travaux à réaliser dans le logement, ou des dépenses imprévues, comme un appareil dentaire pour le petit ou le rachat d’une voiture.
Comment évaluer l’épargne à laisser disponible ?
Sauf à acheter sur plans, vous devrez sans doute réaliser quelques travaux de plus ou moins grande envergure. Si vous ne les avez pas inclus dans le financement, ils devront être couverts par l’apport. Faites appel à un professionnel pour chiffrer leur montant, ou comptez entre 250 et 400 €/m2 pour une rénovation légère, de 500 à 1000 €/m2 pour une rénovation lourde et encore plus pour une réhabilitation totale.
En parallèle, vous pouvez faire face à d’autres dépenses au moment de la vente, comme les premières charges de copro ou la taxe foncière. Idem, si vous faites appel à un déménageur, celui-ci vous facturera le service à un tarif plus ou moins élevé selon la distance.
Enfin, prévoyez une épargne de précaution correspondant au minimum à 2 ou 3 mois de salaires, voire plus selon votre train de vie. Vous pourrez y piocher en cas de coup dur !
En investissant jusqu’à 100 000 € à vos côtés, Virgil vous permet de devenir propriétaire du bien qui vous correspond vraiment. Et vous accompagne à toutes les étapes. Parce qu’on devrait tous être libre d’acheter l’appartement qui nous fait rêver. Chambre d’enfant, rooftop, ou quartier préféré : devenez propriétaire, sans faire de compromis. Et si on en parlait ?