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Ils sont comme ça Juliette et Arthur*. À force de regarder le verre à moitié plein, pour eux, la tartine tombe souvent du bon côté. Quand ils décident d’acheter après 10 ans de vie de couple et 3 de cohabitation en location, ils dénichent ce qui se révèle être une perle, délaissée par les acheteurs potentiels parce que trop chère, trop compliquée et trop risquée.
En faisant le pas que les autres n’ont pas fait, ils sont aujourd’hui les heureux propriétaires à 50/50 d’un 3 pièces parisien de 60m² avec balcons, au dernier étage avec ascenseur, près du canal Saint-Martin. Retour sur leur parcours.
Se lancer au bon moment pour constituer un patrimoine
En octobre 2019, et après six mois de réflexion, Juliette et Arthur se décident à sauter le pas de l’achat immobilier pour se constituer un patrimoine et « ne plus jeter l’argent par les fenêtres ». Et ce, même s’ils ont la chance de vivre depuis 3 ans, et pour un loyer modéré, dans un appartement du XVe arrondissement appartenant à la famille du jeune homme.
Cerise sur le gâteau, à 30 ans tous les deux, ils réunissent les conditions idéales pour lancer sereinement des recherches d’appartement :
- Leur vie professionnelle leur est favorable, ils sont tous les deux en CDI, lui dans une startup, elle dans le luxe.
- Ils peuvent compter sur un solide apport personnel constitué au fil des années.
En s'appuyant sur ces éléments, ce couple marié estime sa capacité d’emprunt en ligne. Verdict : ils peuvent viser un 60m² sur un prix au mètre carré d’environ 10 000 euros. Le tout en gardant une marge pour d’éventuels travaux.
Il est alors temps de lancer les recherches. Aucun critère précis côté configuration - si ce n’est peut-être une deuxième chambre, “de manière optionnelle” - mais la localisation est au centre des préoccupations du couple. Leur projet : quitter le XVe arrondissement, trop sage à leur goût. Juliette nous l'explique :
« On avait envie de se rapprocher d’un centre névralgique un peu plus jeune. Mais on avait un spectre très large de quartiers. Notre seule exigence, c’était rive droite. »
Voir le potentiel, au-delà des apparences
En cinq mois, Juliette visite 4 appartements, lui deux, avant de tomber, via l’annonce d’une agence en ligne, sur le bien qui fait tilt : un 60m² au sixième étage avec ascenseur, tout près du Canal Saint-Martin. Et pourtant... « On l’a visité dans un état immonde », raconte Juliette. « Aucun travaux n’avait été fait depuis au moins 30 ans. L’ancien propriétaire fumait à l’intérieur de l’appartement, les murs étaient imprégnés de tabac ».
« On l’a visité dans un état immonde »
Malgré le potentiel du bien, la jeune femme hésite, craignant un labeur titanesque. Une seconde visite, avec ses parents, débouche même sur une impasse face à l’ampleur des travaux et un prix de vente au-dessus des 10 000€/m² usuels du marché pour ce quartier. Sans oublier un obstacle de taille : la potentielle construction d’un immeuble sous les fenêtres de l’appartement, sur ce qui est alors une friche.
Mener l’enquête et suivre son intuition
Le doute persiste… Et s’ils passaient à côté d’une pépite ? Pour se décider, Juliette visite une troisième fois le bien, en compagnie d’Arthur. A deux, ils mènent l’enquête. “ Le sujet de l'immeuble en construction nous faisait hyper peur, même si on nous assurait qu’il ne devait pas dépasser nos fenêtres”, raconte Juliette. Ils décident de vérifier le permis de construire en mairie pour appréhender l’ampleur du projet. “Cela nous a rassuré ! D’autant que, déjà à l’époque, le projet était contesté en justice par notre copropriété. L’immeuble ne sera peut-être jamais construit ou se transformera finalement en square”, précise Juliette.
“C’est sûrement une des raisons qui ralentissait la vente du bien, et qui justifiait qu’il soit toujours sur le marché”, résume la jeune femme, qui estime que c’est sans doute là une des raisons qui leur ont laissé le temps et l’opportunité d’acquérir ce bien.
Estimer, négocier, financer
Rassurés, Juliette et Arthur s’appuient alors sur un entrepreneur avec lequel ils ont déjà collaboré pour estimer l’enveloppe nécessaire aux travaux, qu’ils souhaitent financer grâce à leur apport personnel.
Dernière étape pour se lancer : utiliser le risque d’un vis-à-vis et la cherté du bien, qui avaient fait fuir les autres acheteurs potentiels, comme levier pour négocier le prix du bien. Et leur audace paie, puisqu’ils parviennent à obtenir une baisse de 8% du prix initial !
Leur offre acceptée, et grâce à la cohérence du projet avec l’estimation initiale de leur capacité d’emprunt, Juliette et Arthur trouvent sans difficulté majeure un crédit auprès d’une banque en ligne.
Des travaux à l’arrêt en pleine épidémie, une charge financière supplémentaire
La vente se concrétise et ils signent le 17 mars 2020... jour de l’annonce du premier confinement ! Tout s’arrête net : impossible de lancer les travaux pour aménager leur cocon et le couple n’a d’autre choix que de rester en location dans l’appartement familial. “Nous avons dû assumer à la fois la charge du loyer et de l’emprunt jusqu’à notre emménagement”, confie Juliette. Ils patienteront ainsi jusqu’au déconfinement, le 5 mai, pour lancer la rénovation.
Reculer pour mieux sauter
Un projet en suspens… mais pas à l’arrêt ! Pour patienter, Juliette, qui a le goût de l’aménagement, étudie le plan de l’appartement et imagine toutes les configurations possibles. “Nous avons décidé de créer une seconde chambre dans l’ancienne cuisine et de déplacer celle-ci dans le salon”, explique-t-elle.
Elle présente ses idées à un architecte, qui lui confirme la faisabilité du projet et dessine des plans en bonne et due forme. Et le couple de concrétiser son engagement auprès de l’entreprise qui conduira les travaux sans accroc pendant 6 mois. “Nous avons même eu l’excellente surprise de découvrir deux balcons, cachés par les vieilleries entassées !”, s’enthousiasme Juliette.
Depuis, le couple s’épanouit avec sa « vue ciel », ou l’art de faire un carton plein sans le savoir !
*Les prénoms ont été modifiés.
Crédit photo : Pauline Le Goff
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